lundi 24 novembre 2008

Tant à dire, mais si peu de dit

Je suis silencieux depuis plusieurs semaines, en fait depuis la mort de Mamy. Bien que son départ soit en partie la raison de mon silence, c'est surtout le fait que je me suis laissé avoir par la fatigue et ainsi la morosité et même un brin de dépression, que je n'ai pas eu envie d'écrire. Pourtant, j'ai eu tant d'idées, de pensées et de questions. L'enterrement fut aussi un moment intense de réflexion.

Par contre, si je m'obstine à remettre dans l'ordre chacune de ces discussions, je n'écrirais jamais quelque chose. Il faut que j'écrive sur le moment, sinon je n'en ai plus envie. Aussi, dimanche je prêche dans mon église. Cela m'obligeras bien à mettre au moins quelques mots par écrit. Je ferais un résumé de l'idée principale du texte étudié et je le posterais sur le blog. Le texte de dimanche sera le passage dans Luc 7 où la femme prostituée verse du parfum sur les
pieds de Jésus.

Ainsi, je veux me remettre à écrire et, plutôt que de repousser à demain ce que je voulais faire aujourd'hui, j'ai pensé écrire ces quelques mots.

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