"En langue grecque, «adorer» et «se prosterner» sont désignés par le même mot proskuneo. Devant l'Éternel, tout genou doit fléchir, un jour ou l'autre. L'adoration est une profonde révérence, l'expression de l'immense respect que nous ressentons devant le Créateur qui a bien voulu devenir notre Père.Pour celui qui ne connaît pas Dieu de cette façon, l'adoration pourrait paraître ridicule, exagérée. Comment peut-on vénérer ainsi quelqu'un qu'on ne voit pas? Si l'œil ne le voit pas, la foi, elle le voit à travers les Écritures qui nous parlent de lui, et par le Saint-Esprit qui veut bien le révéler en nous. Nous adorons «en esprit et en vérité» (Jean 4:23)."
Pour ceux qui ne connaissent pas Dieu, ce que nous faisons est un mystère au mieux, une maladie au pire. Bozzi fait bien de préciser comment nous voyons ce Dieu. Il nous a donné la Bible et par sa Parole, il nous peint un magnifique tableau de sa gloire et sa grandeur.
Mais je dois avouer que j'ai une difficulté à adorer ce Dieu que je professe de mes lèvres. J'y pense souvent quand nous sommes dans une église. Nous sommes si rigides, nous avons tellement structuré le programme. Pourquoi tant de religion et si peu de vie? C'est parce que dans ma propre vie, les actions sont beaucoup faciles a produire que des sentiments. Je peux diriger un culte dans une église, mais me retrouver face couché contre terre merveilleusement effrayé par la sainteté de Dieu est beaucoup plus difficile à produire dans mon cœur.
Saint Esprit, touche mon cœur. Touche nos cœurs. Amène-nous à toi. Brise la fièrté dans nos cœurs et permet-nous d'éprouver ta présence. Donne moi un désire pour toi Seigneur. Tout autour de moi semble prendre ta place!
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