jeudi 18 décembre 2008
On s'en fiche tout les deux du devoir! Pourquoi alors se faire souffrir?
Après trois ans passés dans la vie réel. Trois ans à vivre du concret et à chercher comment vivre une vie qui plaise à Dieu, j'ai du mal à me motiver pour mes devoirs. Oui, le travail bien fait honneur Dieu et lui fait plaisir. Mais c'est les effets et les répercussions (ou manque de celles-ci) qui me motive dans mon travail. Si je préparais une présentation sur la Bible, sur Jésus ou je ne sais quoi, qui serait lu ou écouté par un certain nombre de personnes, je verrait la valeur de passer des heures à me préparer et à étudier. De même pour le travail. Je ne sais pas qui lira la revue de presse qui le permettra de lire un certain livre qui changera sa vie. Je ne sais pas qui lira le livre que j'évalue pour la traduction. Le fruit de mon travail reste invisible, mais il promet d'être énorme.
Quant à mes devoirs scolaires, je me fiche bien de savoir pourquoi la notion du "détour" est vue d'une manière plus positive depuis quelques temps alors qu'elle était surtout négative il y a deux cent ans... Si je passe 5 heures à rédiger une dissertation pour un professeur qui se fiche bien de mon opinion. Il ne cherche pas la vérité, simplement il doit me donner des notes pour le semestre et corrige donc mon devoir. Il s'en fout si ce que je dis peux changer sa vie. Tout ce qui importe pour le prof c'est de corriger aussi vite que possible ma copie pour qu'il puissent regarder un peu la télé avant de se coucher.
mercredi 17 décembre 2008
Les opportunités du bus (j'aime les musulmans)

mardi 21 octobre 2008
Ma mauvaise semaine passée

rien. J'ai beau me réveiller de bonne heure pour tenter de lire et
prier, je ne parviens à aucun effet. Mon coeur est dure et froid,
difficilement ému par la la grâce de Christ. Je crie intérieurement
vers Dieu, qu'Il me donne un coeur tendre au lieu d'un coeur de
pierre. Mais il me semble que le mieux à faire dans ces moments-là
c'est de se coucher en priant:
"Père, tu es Seigneur, je ne le suis pas. Tu es souverain au-dessus
de tout, je ne contrôle rien. J'ai besoin de toi chaque moment de
chaque jour, toi tu n'as pas besoin de moi. Je vais me coucher, donne
moi une bonne nuit de repos et donne moi les forces et la joie qu'il
me faut pour demain. Je te demande cela, au nom de Jésus."
mercredi 10 septembre 2008
Que faire de nos petits temps morts?

qui avaient le potentiel de nous rapprocher de Dieu ou de nous
distraire. J'ai eu des moments d'éloignement de Dieu et quelques
instants plus privilégiés dans Sa présence et quelques heures de joie
dans la Bible.
Ces derniers temps, Dieu me bénit d'une grande compassion pour mon
prochain. Alors, que parfois je ne prêt aucune attention à mon
voisin, depuis mon retour en France, je me soucie de beaucoup de
monde. Je suis dans le bus et je vois une vieille dame qui embarque,
"Seigneur, ai pitié d'elle et donne lui la joie de te connaître!"
Trois jeunes se tiennent debout et se tapent un délire sur quelque
chose, "Père, ouvre leurs yeux pour les empêcher de gaspiller leurs
vies!" Une jeune fille s'assoit, "Seigneur, sauve-la! Donne moi un
signe que tu exhausseras ma prière, fais qu'elle descende à l'arrêt
prochain!"
Je prie pour ces jeunes et moins jeunes plus que jamais auparavant.
Je prie aussi que cette compassion dure, car elle ne provient pas de
moi. L'inconvénient de la situation, c'est que je me retrouve en fin
de journée, épuisé par tout ce tracas supplémentaire.
Mes amis, prions Dieu pour lui demander de sauver nos voisins, nos
amis et nos familles. Si vous croyez vraiment à l'évangile, vous
aurez à coeur de prier comme cela.
vendredi 5 septembre 2008
Que fait-on du plus grand dénominateur inconnu?

J'ai eu une discussion interessante hier avec une jeune fille. Elle
se dit croyante depuis un certain temps, mais au fil de notre
échange; j'ai été surpris d'entendre comment elle s'imaginait Dieu.
De Parents «très croyants», elle rejeta Dieu à l'âge de 17 ans. Puis
par un episode mouvementé elle se rendit à l'évidence que Dieu
existait vraiment.
Pourtant, le Dieu qu'elle me décrit n'est pas celui que l'on retrouve
à la lecture de la Bible. C'est un Dieu qui pourrait être le fruit
d'une imagination fertile, humaniste et franchement, qui ne répond
pas au final aux critères d'un vrai dieu.
C'est seulement une fois la conversation terminée (elle fut courte),
que je me suis rendu compte que Jésus n'avait même pas été mentionné.
Ni par elle, ni par moi. J'étais tellement heureux de trouver
quelqu'un qui croyait en Dieu, que j'ai supposé qu'elle croyait au
même Dieu que moi et donc en Jésus-Christ aussi.
Que c'est important de définir de quoi nous parlons! Et Jésus-Christ
par dessus tout autre, car il est le plus grand dénominateur
incommun. Que veux-je dire par là? Presque toutes les religions au
monde accepterait l'enseignement Chrétien de s'aimer les uns les
autres. Les grandes religions monothéistes s'accorderait qu'il y a un
seul Dieu. Mais seul un vrai croyant accepterait de dire qu'il est
pécheur, mérite la punition éternel de Dieu et se sait pardonné par
la mort de Jésus sur une croix pour ses péchés. Et ce, pas parce que
nous le méritons, non, mais par la grâce de Dieu.
mercredi 3 septembre 2008
Pourquoi Dieu créa-t-il la vieillesse? (#3)
