Affichage des articles dont le libellé est Espoir. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Espoir. Afficher tous les articles

dimanche 26 juillet 2009

Proverbes 24: Espère en Dieu car il y a un avenir! (2/2)

Ce matin, je ne sais pas pour toi, mais je vais probablement manger du pain. Il est fait maison chaque matin. J'aime le manger encore chaud avec du beurre et du miel. On parle de miel et d'espérance dans le chapitre de ce matin. Deux très bonnes choses.


Proverbes 24.13-14 :


"Mon fils, mange du miel, car il est bon. Un rayon de miel sera doux à ton palais. De même, connais la sagesse pour le bien de ton âme: si tu la trouves, il y a un avenir et ton espérance ne pourra pas être brisée."


Ici, on compare la sagesse au miel. Presque tout le monde apprécie la douceur du miel. Et bien, la sagesse aussi est douce à notre âme. Elle fait du bien, tout comme la tisane au miel est délicieuse, une vie qui poursuit la sagesse est une vie comblé et heureuse.
As-tu remarqué que la dernière phrase est identique à celle de hier? "Il y a un avenir et ton espérance ne pourra pas être brisée." C'est ici que je lirai Romains 8.21-25. J'avoue que le sujet de l'espérance est plutôt vaste. Nous espérons en Dieu pour de nombreuses raisons (que je n'ai jamais pris le temps d'en faire la liste). Alors j'arrête là.


Pourquoi espères-tu en Dieu? (Psaume 42.11)

samedi 25 juillet 2009

Proverbes 23: Espère en Dieu car il y a un avenir! (1/2)

Si tu es chrétien, tu comprendras peut-être ce que je dis ce matin. Il m'arrive de regarder quelqu'un d'autre et de me dire: "mince! Dommage que je sois chrétien, parce que ce qu'il fait celui-ci me semble plutôt sympa." Ou alors, "c'est vrai qu'il semble mieux s'amuser que moi…"
OK, peut-être que je suis le seul à me dire cela, mais voilà, ça m'arrive.


La Bible à un passage formidable qui parle de ce sentiment. Et pour être franc, pour moi, c'est un passage essentiel pour comprendre la Bible et pourquoi Jésus est venu dans le monde. C'est dans 1 Corinthiens chapitre 15 que l'apôtre Paul dit quelque chose d'étrange. D'abord il explique que Jésus-Christ à véritablement marché sur cette terre* et qu'il fut mis à mort sur une croix ET qu'il est ressuscité le troisième jour. Ensuite il dit:
"Et si Christ n'est pas ressuscité, alors notre prédication est vide, et notre foi aussi." et aussi, "Or, si Christ n'est pas ressuscité, votre foi est inutile, vous êtes encore dans vos péchés." Enfin il conclu: "Si c'est pour cette vie seulement que nous espérons en Christ, nous sommes les plus à plaindre de tous les hommes."


Vous croyez cela? "Les plus à plaindre de tous les hommes"? C'est étrange non? Si je regarde ma vie et celle de tant de chrétiens, je pourrais me dire "même si Jésus n'est pas ressuscité, j'ai vécu une bonne vie…" NON! Paul dit qu'on est les plus grands pauvres types de la planète si Jésus n'est pas revenu à la vie!


Pourquoi parlons-nous de Corinthiens et de Jésus ce matin? C'est vrai, aujourd'hui on est au chapitre 23 du livre de Proverbes. Ce chapitre parle beaucoup des autres, de ceux qui vivent contre Dieu. Après une énumération de choses qu'on ne doit pas faire, Salomon en vient à la racine.


"Que ton cœur n'envie pas les pécheurs, mais qu'il ait toujours la crainte de l'Eternel, car il y a un avenir et ton espérance ne pourra pas être brisée." Proverbes 23.17-18


Effectivement, sans un Jésus-Christ ressuscité, la vie radicale du chrétien sur terre ne devrait pas avoir de sens aux non-chrétiens qui nous regardent, car nous n'aurions pas d'espoir.


*Pour info, Paul a écrit cette lettre à peine 20 ans après la mort et la résurrection de Jésus!

mercredi 17 décembre 2008

Les opportunités du bus (j'aime les musulmans)

J'aime les musulmans. Tous les jours je côtoie des jeunes issus de l'immigration. Ils sont autour de moi à l'arrêt et prennent le bus avec moi. Certain d'entre eux ont des comportements tellement proches des clichés, qu'on croirait qu'ils faisaient exprès (surtout les jeunes).
Il y a les jeunes garçons qui font les caïds. Vétus de cuir, ou de 'sweats', ils marchent comme des marins (c'est évident qu'on à l'air cool comme ça) et ne sourient jamais. Ce serait vu comme un signe de faiblesse je suppose... 
Les hommes sont géniaux. Avec leurs barbes et leur petits chapeaux (on les appel comment?) il se saluent la main sur le coeur et discutent des heures durant. Ils ne semblent pas avoir d'autres rendez-vous dans la journée que leurs amis.
Généralement je ne remarque pas autant les femmes, ni les jeunes filles. Mais aujourd'hui j'ai eu un court échange avec trois d'entre-elles.
Je suis monté sur le bus (flambant neuf, puisque Viavil vient d'être mis en place à Maubeuge) et me suis dirigé vers l'arrière du bus où il y a plus de chances de trouver une place assise. Pour ceux qui prennent les bus à extensions, ils sauront qu le carré de fauteuils à l'arrière du bus est traditionnellement reservés aux jeunes issues de l'immigration. Mais ils étaient seulement trois filles et il y avait encore beaucoup de place et je me suis joint à eux.
La discussion c'est rapidement lancé. Echanges de politesses, quelques questions (malgré l'oreillette d'ipod accroché à l'oreille de deux d'entre elles) et je voulais savoir si elles étaient musulmanes.
J'aime les musulmans. Ils croient que Dieu existe, qu'il à crée le monde. Ils ont aussi un respect pour les choses sacrés. Ils apprécient la discussion (c'est un des fondements de la culture arabe) et Jésus à une large place dans leur Coran. Avec le Français typique, il n'y a aucun intérêt  concernant Dieu, mais les musulmans et mêmes le jeunes musulmanes en discutent avec plaisir malgré parfois leurs faibles connaissances.
A mon arrêt en ville nous étions arrivés à la place de Jésus dans le Coran et je leur ai demandé si elles savaient que leur livre sacré prétendait que Jésus avait crée le monde. Elles ne savaient pas cela, mais quand elles m'ont répondu "C'est Dieu qui à crée le monde!", je leur ai simplement dit que cela aussi était vrai.
J'espère les retrouver un jour pour continuer la discussion. Elles commencent tout juste à lire le Coran. Peut-être on pourrait échanger nos livres. J'ai toujours voulu lire leur livre et les invité à découvrir le Dieu de l'univers qui s'est fait homme.

dimanche 9 novembre 2008

Un hommage à une grande petite femme

C'est avec joie mêlé de larmes que j'écris ces quelques mots dédiés à Sophie Kapitaniuk, ma grand-mère de 75 ans.

Hier soir (vendredi 7 novembre), après des années de lutte contre la maladie, le coeur de Mamy s'est arrêté et les médecins ne purent rien faire. Mamy nous a quittée pour être avec Jésus et je sais qu'elle est heureuse maintenant. Ma grand-mère était un formidable exemple pour moi. Son influence sur ma vie est simplement incalculable car c'était une femme de prière avec une grande foi.
Elle avait 75 ans mais avait encore un rire d'enfant. Dieu était sa plus grande source de joie. Elle fut peut-être la plus heureuse d'apprendre que je m'apprêtais à m'engager à plein-temps sur la champ missionnaire avec OM. Toute sa vie elle avait prié qu'au moins un de ses huit fils se donnerait à Dieu pour la mission. Pour mes grands-parents, le champ missionnaire et le travail pastoral étaient les vocations les plus nobles et ils souhaitaient voir le monde entier louer Dieu pour sa grâce en Jésus Christ.
Mamy puisait quotidiennement aux sources de la Bible pour y trouver forces et joie. Sa vue s'était bien amoindri ces dernières années et il fallait qu'on lui lise des passages. Je la vois encore, couchée sur son lit. Elle me demandait de choisir un passage, fermait les yeux et un sourire aux lèvres, attendait que je lise. Combien de fois me suis-je demandé pourquoi Dieu ôtait la vue d'une femme qui aimait tant la Bible alors que la plupart du monde voit mais ne sait que faire de la Bible.
Les enfants étaient une autre source de joie pour Mamy. Elle avait toujours aimé les enfants. Mère de huit et grand-mère de 25 petits-enfants (chiffre constamment revu à la hausse), elle aimait avoir les enfants chez elle. Ceux-ci rendait son amour par de nombreuses offrandes, bouquets de fleurs des champs, dessins, cartes et peintures qui décoraient sa maison.
Par sa mort, Mamy laisse un gouffre derrière elle. Elle était une amie, une conseillère, une aide dans la prière et ma grand-mère. Bien que petite de taille, elle est grande dans mon estime. Jésus était son trésor et ainsi son coeur était au ciel avec lui. Jusqu'à la fin, elle vivait à la lumière du Psaume 71:
"Ne m'abandonne pas, ô Dieu! même dans la blanche vieillesse, Afin que j'annonce ta force à la génération présente, Ta puissance à la génération future!" Psaume 71:18
Bien qu'elle connût plus de souffrance physique que la plupart, elle resta attachée à Jésus sachant qu'il la tenait fermement dans ses mains. Bien que morte, sa vie et son testament continuent à parler. La mort lui était un gain et ainsi elle vécut bien sa vie. S'il y avait une chose qu'elle voudrait pour chacun de nous, c'est que nous ne gâchions pas nos courtes vies terrestres. "Le meilleur est encore à venir," me dit-elle récemment. Pour elle, ce moment est enfin arrivé.

vendredi 7 novembre 2008

Il y a un sens à la mort, même des plus jeunes

Ma vie, celle d'un jeune de 21 ans qui sait que Jésus est mort à sa place. Il est mort la mort que je méritais pour que je vive une autre vie. J'ai fait trois ans sur le Doulos pour aucune autre raison que le fait que Dieu s'est montré à moi.
C'est par la mort d'une fille de 17 ans que Dieu m'a ouvert les yeux à mon état et que je me suis mis à vivre pour Lui. Le premier enterrement de ma vie était celui d'une jeune femme qui venait de fêter son 17ième anniversaire. C'était aussi mon âge à cette époque et j'en suis éternellement reconnaissant. Où serais-je si ce n'était pas pour cet chauffard ivrogne qui faucha Mikaela un soir de juillet? Je suis reconnaissant de sa mort puisque j'ai reçu la vie. Et c'est par sa mort que j'ai donné ma vie à Dieu, que me guida progressivement à travailler trois ans sur un bateau à l'autre bout du monde.
Ce sont ces souvenirs qui me sont revenus aujourd'hui lors d'une conversation avec Y* une fille de ma classe. Me voyant lire, elle me demanda si c'était la Bible. Non, se sont les confessions d'Augustin lui dis-je. S'engage ensuite une conversation sur Dieu où elle explique que sa mère et très croyante mais elle-même ne l'est plus depuis la mort de sa meilleur ami dans un accident. Elles étaient ensemble sur le scooter et un véhicule les accroche. Son amie parvient à reprendre l'équilibre, mais en vain puisque elle frappe de plein fouet un poteau et meurt sur le coup. Y* survécut mais fit une tentative de suicide qui la metta dans un coma durant trois semaines. Depuis, elle se dit qu'elle se fiche bien que Dieu existe. Elle moura bien le jour qui est le sien, d'ici là il faut vivre et profiter de la vie.
Comme moi, elles avaient toutes les deux 17 ans. Y* se braqua contre Dieu et je me suis réfugié en Dieu.
Comme quoi il y a beaucoup de sens dans la mort d'un jeune de 17 ans. Je prie que Dieu sauve Y* et les nombreuses personnes qui ont vécu la mort d'un proche. La mort n'est pas une tragédie en soi. Ce qui est tragique c'est mourir sans s'y être préparé.

mercredi 5 novembre 2008

Trouver ses forces et sa joie dans le pardon

Le 16 février 1546, Martin Luther griffonna quelques mots avant de mourir. Ces mots m'encouragèrent aujourd'hui. Je suis fatigué et je me sens donc éloigné de Dieu. C'est un sentiment habituel sous grosse fatigue et quasi déprime. Je ne veux pas entrer dans le sujet de la dépression. Il y aurais bien quelques lignes à écrire, mais je veux simplement relater ce que j'ai éprouvé en lisant quelques lignes de Luther.
"Nous sommes mendiants! Cela est vrai."
Derniers mots de Martin Luther
Voilà un des plus grand hommes de l'histoire de l'église qui exprime exactement notre relation avec un Dieu saint. Je ne suis qu'un misérable pêcheur. Ce n'est pas de l'apitoiement, c'est un fait que j'éprouve ce soir. Et je depends de la bonté de Dieu. Ma rebellion à rencontré l'amour, le pardon, la grâce de Dieu. Je suis un mendiant qui vient sans conditions pour recevoir de la main de Dieu.
Entendre de nouveau cette vérité de la bouche de Luther ma redonné un sourire aux lèvres. Il y a tant de joie à puiser dans la grâce de Dieu.

jeudi 25 septembre 2008

C'est quoi la vie?

Y'a pas plus que ça?

mercredi 10 septembre 2008

Que faire de nos petits temps morts?

La semaine est passé très vite. Nous avons tous vécu tant de choses
qui avaient le potentiel de nous rapprocher de Dieu ou de nous
distraire. J'ai eu des moments d'éloignement de Dieu et quelques
instants plus privilégiés dans Sa présence et quelques heures de joie
dans la Bible.

Ces derniers temps, Dieu me bénit d'une grande compassion pour mon
prochain. Alors, que parfois je ne prêt aucune attention à mon
voisin, depuis mon retour en France, je me soucie de beaucoup de
monde. Je suis dans le bus et je vois une vieille dame qui embarque,
"Seigneur, ai pitié d'elle et donne lui la joie de te connaître!"
Trois jeunes se tiennent debout et se tapent un délire sur quelque
chose, "Père, ouvre leurs yeux pour les empêcher de gaspiller leurs
vies!" Une jeune fille s'assoit, "Seigneur, sauve-la! Donne moi un
signe que tu exhausseras ma prière, fais qu'elle descende à l'arrêt
prochain!"
Je prie pour ces jeunes et moins jeunes plus que jamais auparavant.
Je prie aussi que cette compassion dure, car elle ne provient pas de
moi. L'inconvénient de la situation, c'est que je me retrouve en fin
de journée, épuisé par tout ce tracas supplémentaire.

Mes amis, prions Dieu pour lui demander de sauver nos voisins, nos
amis et nos familles. Si vous croyez vraiment à l'évangile, vous
aurez à coeur de prier comme cela.

vendredi 5 septembre 2008

Que fait-on du plus grand dénominateur inconnu?



J'ai eu une discussion interessante hier avec une jeune fille. Elle
se dit croyante depuis un certain temps, mais au fil de notre
échange; j'ai été surpris d'entendre comment elle s'imaginait Dieu.
De Parents «très croyants», elle rejeta Dieu à l'âge de 17 ans. Puis
par un episode mouvementé elle se rendit à l'évidence que Dieu
existait vraiment.
Pourtant, le Dieu qu'elle me décrit n'est pas celui que l'on retrouve
à la lecture de la Bible. C'est un Dieu qui pourrait être le fruit
d'une imagination fertile, humaniste et franchement, qui ne répond
pas au final aux critères d'un vrai dieu.

C'est seulement une fois la conversation terminée (elle fut courte),
que je me suis rendu compte que Jésus n'avait même pas été mentionné.
Ni par elle, ni par moi. J'étais tellement heureux de trouver
quelqu'un qui croyait en Dieu, que j'ai supposé qu'elle croyait au
même Dieu que moi et donc en Jésus-Christ aussi.
Que c'est important de définir de quoi nous parlons! Et Jésus-Christ
par dessus tout autre, car il est le plus grand dénominateur
incommun. Que veux-je dire par là? Presque toutes les religions au
monde accepterait l'enseignement Chrétien de s'aimer les uns les
autres. Les grandes religions monothéistes s'accorderait qu'il y a un
seul Dieu. Mais seul un vrai croyant accepterait de dire qu'il est
pécheur, mérite la punition éternel de Dieu et se sait pardonné par
la mort de Jésus sur une croix pour ses péchés. Et ce, pas parce que
nous le méritons, non, mais par la grâce de Dieu.

mercredi 3 septembre 2008

Pourquoi Dieu créa-t-il la vieillesse? (#3)


Que faire quand nous sommes âgés et notre corps commence à faiblir?

Nous avons tous vu quelqu'un dans notre famille vieillir et perdre ses capacités mentales et physiques. Leur corps se rebelle contre eux et commence à s'altérer. La personne que nous connaissions et que nous aimions semble avoir disparue, rongé par la maladie. Nous-mêmes, si nous étions honnêtes, nous avons une crainte de la vieillesse. Nous voudrions tant éviter complètement ce stade de notre vie.

Pour toute personne active, qui avons vue la maladie et la vieillesse ronger, être réduit à passer ses journées dans un lit d'hôpital et peut-être la chose la plus affreuse. Et ce, même pour les chrétiens. Tout d'abord, car nous préférerions être debout, en marche et actifs. Ensuite, nous sommes harassés par une question existentiel: qui continuera le ministère que j'avais? Comme si nous étions indispensables!
Mes grand parents en France aiment Jésus par-dessus tout. Ils ont toujours l'oeil à l'affût pour des occasions pour parler de leur sauveur, Jésus-Christ. Ils aiment aider les gens en difficultés et se démènent à faire le bien. En plus de cela, mon grand-père fait encore des voyages missionnaires en Ukraine, où il prêche de village en village. Ils veulent apporter de l'espoir à ceux qui n'en ont plus et sauver les perdus. C'est une noble motivation, pourtant elle cache un effet pernicieux. Elle crée une distinction entre "le ministère", c'est à dire tout ce qui est travail 'religieux', et tout le reste de nos vies. Je refuse une telle catégorisation, car il n'y a pas plus de valeur dans une prédication, que dans les gestes simples du quotidien d'un parent qui met au lit son enfant, cuisine le repas ou change la couche du bébé. Tout de notre quotidien doit être vécu à la gloire de Dieu, afin que le monde se rende compte que notre joie et notre espoir sont en Dieu.

Alors, que faire quand nous sommes alités, atteint par la vieillesse et la maladie?
• Méditez sur Dieu(Psaume 4 v 4 & Psaume 63 v 6), le louant pour toute sa bonté.
• Annoncez Jésus-Christ à la jeune génération (Psaume 71 v 18).
• Priez Dieu sans-cesse (1Thes 5v17). Ma grand-mère est un bel exemple de ce genre de persévérance. Parfois je me demande si Dieu la garde en vie, justement parce qu'il aime ses prières, offertes comme celles d'un enfant.
• Soyez toujours joyeux (1Thes 5v16) afin que le monde sache que votre espoir est en Dieu et non en votre vie sur terre.
• Soyez une oreille attentive. Parlez peu, priez pour la sagesse qui vient de Dieu et offrez des conseils divins (Proverbes).

C'étaient quelques idées qui me vinrent à l'esprit.

Photo: Doulos


mercredi 13 août 2008

Cacophonie Religieuse!

Il y a quelques temps, une amie m'envoya l'adresse d'un site sur Jésus. J'y suis allé faire un tour. Ce fut un rappel pour moi de la cacophonie religieuse de notre monde. Toutes les voix ce font entendre et une partie d'entre elles pensent sincèrement faire le bien. Mais si leurs croyances adhèrent à Jésus, c'est souvent un Jésus tout autre que celui de la Bible.
Dans notre culture post-moderne, c'est nous qui décidons qui est le vrai Jésus, le Jésus historique. Cela donne une quantité affolante de points de vue divergeant sur la nature de Dieu et donc de Jésus-Christ.

Ce site en question semblait légitime et recensait tout les point de vues contemporains aux Etats-Unis, mais autour de Jésus il flottait une odeur du moderne. C'est alors que je vue ce qu'ils avaient fait de lui.
Ne veuillant pas rejeter son historicité (le fait qu'il est réellement existé), ils rejetaient sa résurrection. De ce fait ils rejetèrent sa divinité, car c'est par sa résurrection qu'il fut "déclaré le fils de Dieu." (Romains 1:4) Ils ne se sont pas arrêtés là, mais cela suffit déjà de savoir qu'ils n'ont pas d'espoir en Jésus. Car l'apôtre Paul le dit clairement , "Si c'est dans cette vie seulement que nous espérons en Christ, nous sommes les plus malheureux de tous les hommes." (1 Corinthians 15:19)
Nous pouvons pas nous permettre de croire seulement ce qu'il est acceptable de croire à nos contemporains. Si Jésus n'est pas ressuscité, nous n'avons aucun espoir d'être pardonné de notre rébellion contre Dieu et notre foi est vaine.

Soyons claires sur l'évangile pour pouvoir discerner la vérité qui sauve des fausses doctrines qui mènent au désespoir.